Plusieurs études ont en effet montré que le sommeil est très sensible à la qualité du microbiote intestinal, avec lequel il interagit constamment : tandis qu’un appauvrissement de la flore bactérienne entraîne une baisse de la durée du sommeil, des troubles chroniques du sommeil ou des perturbations du rythme veille-sommeil provoquent, à leur tour, un déséquilibre du microbiote (appelé « dysbiose »).